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» publiée par le collectif Le Seum sur leur site internet, que nous conseillons vivement de découvrir si vous ne le connaissez pas! Lâchons le mot, les perspectives de ce film sont… révolutionnaires ! Merci Patron ! Mais ses amitiés en politique, comme on le verra plus loin, s’étendent bien au-delà. Ce que l’on voit dans ce film c’est le destin d’une famille en proie à l’injustice que provoque le système capitaliste. En fiction, les films de Chaplin ... tout cela commence à s’estomper quand la distance entre notre réalité et nos représentations est trop importante. Les personnages qui y sont décrits sont dits « personnages fictifs ». Et sa puissance financière s’étend évidemment jusqu’au champ politique. Dans la presse, malgré d'importantes pressions internes dans les médias contrôlés par LVMH[13], les critiques du film sont particulièrement favorables et le site Allociné relève une note moyenne de 4,1/5 sur un total de près de 20 titres nationaux, allant de 3/5 à 5/5[23]. « un film tonique, vengeur, grinçant, terriblement drôle. (required) Le documentaire a rapporté 3 110 030 € de recettes en salle[44]. Digne de l’excellente émission d’origine belge « Strip-tease » pour son formidable témoignage de la condition du petit peuple ouvrier (nordiste), méprisé de nos élites et rappelant à bien des égards le fameux « Roger et moi » de Michael Moore (les connaisseurs apprécieront…), ce film est à l’évidence un chef-d’œuvre. Cet article explore les liens entre les récits que construisent les historiens dans leurs livres et ceux que nous proposent les séries télévisées historiques afin de mettre en lumière comment les seconds peuvent concurrencer les premiers. Dans le même temps les socialistes fraîchement arrivés au pouvoir s’inquiètent des possibles licenciements dans la filière textile. Un résumé très savoureux (comment aurait-il pu en être autrement ?) : « Mieux vaut en rire qu’en pleurer » », « Succès de "Merci Patron" au cinéma : "Un film joyeux" », « Le documentaire « Merci Patron ! " Merci aux escaliers pour ne pas m'avoir joué de tours. Moqueur sans condescendance, joyeusement combatif, le film est un parfait dosage d'humour et de constat social. Au-delà du scénario, donc, le film est un témoignage incroyablement poignant du désastre de la désindustrialisation du bassin textile nordiste. Nous reproduisons ici la critique de « Merci Patron! L’histoire semble simplette, elle va rapidement donner le vertige »[2]. Et en images, cela donne ça : Sentant venir le « mauvais coup de com. Fort d'une grande fréquentation en France[39], le distributeur Jour2fête a profité du Festival de Cannes 2016 pour conclure des accords de diffusion à l'étranger (Benelux, Brésil, Canada, Corée du Sud, Espagne, Portugal, Suisse et Thaïlande) [41],[22]. use de l'humour pour faire passer ses messages, dont la réhabilitation du combat syndical. Pour finir Merci patron !, vous le savez, nous avons lancé, auprès de nos lecteurs, un appel de fonds, et nous avons reçu près de 60 000 € en un mois. Pourtant, la réalité qui y est décrite ne prête guère à la rigolade : fermeture d’usine, licenciements, chômage, pauvreté aggravée, … ». François Ruffin et son équipe sont notamment connus pour avoir inventé les fameux happenings lors des Assemblées Générales (AG) des grandes sociétés du CAC 40, munis d’une simple action comme droit d’entrée. Merci Patron ! Le film est présenté à l'ouverture du quatrième Festival International du film grolandais de Toulouse (Fifigrot) en septembre 2015. Connor McDavid récoltera 100 points cette saison. Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. En parallèle il continue à diriger Fakir. Avec un patrimoine estimé en 2015 par le magazine Forbes à 37 milliards d’euros, il est la deuxième fortune française (après Liliane Bettencourt, héritière de L’Oréal) et la treizième fortune mondiale. Sans toit, certes, mais pas sans voix, car c’est emportés dans le tourbillon de leur porte-parole (j’ai nommé François Ruffin), qu’ils vont se laisser embarquer dans le plan machiavélique visant à faire payer à leur ancien employeur son dû moral. On parie Jean-Michel ? L’affaire avait fait grand bruit à l’époque, comme le relatait La Voix du Nord… mais tout le monde les a bien oubliés quatre ans plus tard… Tout le monde, sauf l’huissier, qui se rappelle à leur bon souvenir, bien décidé à se voir rembourser une ardoise de 25 000 euros menaçant de les laisser sans toit. Le Cercle se retrouve complètement dans ces exigences. Sans connaissance des alternatives… Comment oser renverser la table ? En 2013, le journal lance une collection de livres produits par les toutes jeunes « Éditions Fakir » qui éditeront tous les livres de François Ruffin à partir de cette date. Il y a aussi mes patrons et la famille Marcoux qui m'ont accordé toute leur confiance. Bernard Arnault est aujourd’hui mondialement connu pour être l’heureux propriétaire (et fondateur) du groupe de luxe LVMH (pour Louis Vuitton Moët Hennessy). Dans ce film au sujet triste et consternant, on ne fait que rire (et réfléchir). Le film reçoit le soutien du sociologue Jean-Pierre Garnier[32], de l'économiste Jean Gadrey[33], de l'économiste Frédéric Lordon[34],[35], des sociologues Monique et Michel Pinçon Charlot ou encore de l'ancien inspecteur du travail Gérard Filoche. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 2 Ce film sent la frite, la bière et la solidarité : qu'est-ce-que ça fait du bien »[23]. Prêt pour cela à investir toute la fortune familiale (90 millions de francs, soit 15 millions d’euros), il apparaît comme l’homme de la situation pour Antoine Bernheim (associé de la banque Lazard), qui boucle le plan de financement de rachat, et le gouvernement Fabius qui va aider l’homme d’affaire dans son projet. Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb. Pour Damien Leblanc de Première, « le pamphlet se mue soudain en savoureux récit d’espionnage et d’infiltration et le suspense est digne de celui d’un thriller. Né en 1949, lui aussi au cœur du bassin industriel textile nordiste, Bernard Arnault est le fils d’un industriel roubaisien. C’est avec son diplôme de l’École polytechnique en poche qu’il rejoint l’affaire familiale en 1971 et parvient à convaincre son père de vendre l’activité BTP (40 millions de francs, soit 7 millions d’euros) pour reconvertir l’entreprise dans la promotion immobilière. Néanmoins, la réalité n’est jamais ni toute blanche ni toute noire. Car on prend conscience en regardant évoluer ces pieds nickelés de l’oligarchie, du petit politicard de seconde zone, au papi retraité des RG, combien tout ne tient plus à rien. À en croire l’affluence dans la salle lors de la projection à laquelle nous avons eu le plaisir d’assister (au cinéma 7 Parnassiens, à Paris, dans une ambiance très chaleureuse et avec l’accueil convivial de la direction), le film pourrait bien rencontrer son public et avec lui, un formidable succès. Nous n’en dirons pas plus pour ne pas dévoiler la machination imaginée par François Ruffin. ... Mais on peut aussi s’interroger sur la fiabilité et la réalité du docu-fiction. Merci Patron ! Pari gagné. L'étrange réalité de Paul, roman de science-fiction, Gilles Côté, Fondation littéraire Fleur de Lys . Vous nous avez réconciliés avec un monde où l’humain est trop souvent broyé par la logique financière. La réalité dépasserait-elle la fiction ? Why ask? Pour Jocelyne et Serge Klur, rien ne va plus : leur usine fabriquait des costumes Kenzo (Groupe LVMH), à Poix-du-Nord, près de Valenciennes, mais elle a été délocalisée en Pologne. de LVMH : « Ce sont les minorités agissantes qui font tout » ! Vous devez être abonné pour réagir. Si c’est un documentaire, il est scénarisé comme un film. Elle en fit des fictions que le monde s’est arraché. Merci Patron ! : Pour Jocelyne et Serge Klur, rien ne va plus : leur usine fabriquait des costumes Kenzo (Groupe LVMH), à Poix-du-Nord, près de Valenciennes, mais elle a été délocalisée en Pologne. Jocelyne et Serge Klur, ouvriers au chômage ; « Monsieur Digeon », conseiller de sécurité et employé du service d'ordre de. Aujourd'hui sur Rakuten, 57 Merci Patron vous attendent au sein de notre rayon . Nous reproduisons ici la critique de « Merci Patron! »[27]. Et en guise d’illustration, cette anecdote… Devant l’afflux de spectateurs, la direction du cinéma a du ouvrir une seconde salle, la première étant remplie près de trente minutes avant le début de la séance. C’est Zola au XXIème siècle, c’est Germinal après la fermeture des mines, c’est Lantier et Maheu déplacés par magie du Voreux à Poix-du-Nord. Dans ce carton de la plateforme Netflix, une enfant orpheline de l’Amérique des années 1960 s’élève de la misère grâce à son talent inné pour les échecs. La critique est globalement favorable, malgré certaines « pressions » exercées par le groupe LVMH dans un des journaux qu'il possède.  −  En magnifique successeur du non moins magnifique « Demain » de Cyril Dion et Mélanie Laurent (nous en parlions ici) ! ), de son association de lecteurs Les Amis du Monde diplomatique, d'Acrimed, d'Attac et de divers autres mouvements militant contre le néolibéralisme[8]. Ces deux documentaires sont fondamentalement complémentaires ! Et tant que nous en sommes à rêver, pourquoi « Merci Patron ! Ce jeudi soir M6 plonge un grand patron déguisé au sein de ses salariés sur le terrain. [1] est un film documentaire satirique français réalisé par François Ruffin, sorti le 24 février 2016. Le 10 mars 2016, une intersyndicale des journalistes du Parisien dénonce la censure exercée à leur encontre par la direction de leur journal (détenu par le groupe LVMH[12]) visant à leur interdire d'écrire sur ce film[13]. Merci Patron ! Le spectateur quitte la salle de cinéma avec le sourire. Sur sa route il croise Jocelyne et Serge Klur, pour qui rien ne va plus : leur usine fabriquait des costumes Kenzo pour le groupe LVMH, à Poix-du-Nord, près de Valenciennes, mais elle a été délocalisée en Pologne. fait mouche »[23]. Pour lui, ce que nous appelons la vérité dans le monde de la réalité peut être remis en cause Il entend tout simplement agir concrètement et directement dessus. François Ruffin profite de la remise du prix pour fustiger l'indifférence des médias et des politiques à l'égard des ravages sociaux provoqués en France depuis trente ans par les délocalisations industrielles[46]. De très nombreux exemples de phrases traduites contenant "la fiction rejoint la réalité" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises. dans notre catégorie DVD Zone 2 et commandez-le tout aussi rapidement. Cinema : pourquoi faut-il aller voir « Demain » dès aujourd’hui ? Consultez la traduction français-allemand de réalité dans le dictionnaire PONS qui inclut un entraîneur de vocabulaire, les tableaux de conjugaison et les prononciations. On est estomaqués.– D’où ça vient ?– Je ne comprends pas. L’un divertit, transporte ou fait rêver ; l’autre informe, explique ou présente. » la direction d’Europe 1 a tenté très maladroitement de rattraper le coup… ayant pour seul effet d’enfoncer le clou ! — Mais où suis-je donc ? À la place de la théorie, de la réflexion ou de l’observation, Merci Patron ! Et cela, aussi bien du côté du neuf que des produits Merci Patron occasion. Entre 2015 et 2016, le groupe LVMH a fait espionner François Ruffin et fait suivre le journal Fakir, dont il est le rédacteur en chef[15],[16]. Je ne sais pas combien a coûté ce film, mais ce qui est sûr, c’est qu’il s’est payé une société à 75 milliards d’euros… ce qui vaut bien tout l’or du monde…. Voilà le couple au chômage, criblé de dettes, et risquant désormais de perdre sa maison. (et je me mets à rêver alors que François rencontre un jour Cyril…). Mais le moins que l’on puisse dire est qu’elle est d’une incroyable ingéniosité allant de rebondissement en rebondissement et ne laissant pas au spectateur une seule seconde de répit – sans jeu de mot ! Tout ce qui se passe dans ce film est incroyable ! », « le pamphlet se mue soudain en savoureux récit d’espionnage et d’infiltration et le suspense est digne de celui d’un thriller. François Ruffin est né à Amiens (Picardie) en 1975. Vous nous avez réconciliés avec un monde où l’humain est trop souvent broyé par la logique financière. Lors de l'assemblée générale du groupe LVMH qui s'est tenue le 14 avril 2016, Bernard Arnault a déclaré au sujet de ce film qu'il n'a pas vu[36],[37] : « Il est difficile de donner un avis sur le film car je ne l'ai pas vu », « Depuis de nombreuses années, une vingtaine d'années, on est l'objet de critiques de la part de groupes d'extrême-gauche. Dans Positif, Fabien Gaffez estime que « entre caméra cachée, provocation potache, journal "extime" et documentaire embarqué; "Merci Patron !" use de l'humour pour faire passer ses messages, dont la réhabilitation du combat syndical. Preuve s’il en est, une fois de plus, des incessantes tentatives des directions de nos grands médias de peser de tout leur poids sur les rédactions. Ferret-Savinel, la société familiale, est alors spécialisée dans les travaux publics. En un mot, un mastodonde avec lequel seul l’autre géant français du luxe, Kering (ex-PPR), appartenant au milliardaire François Pinault, peut rivaliser… de loin. La suite ne sera alors plus qu’une longue succession de fusions et d’acquisitions propres à la grande finance. Un âge fort respectable pour celle qui avait assassiné tant de monde dans ses livres. Ses activités recouvrent tout le spectre de cette industrie, allant des vins et spiritueux (Château d’Yquem, Moët & Chandon, Dom Pérignon ou encore Veuve Clicquot, pour ne citer que les domaines les plus prestigieux…), à la mode (Dior, Louis Vuitton, Berluti, Marc Jacobs, Kenzo et tant d’autres), en passant par la parfumerie (Givenchy, Guerlain, …) ou encore la joaillerie (Chaumet, Fred ou Bulgari). Retrouvez les 474 critiques et avis pour le film Merci Patron!, réalisé par François Ruffin avec . Quant à François Morel, dans son billet, lu sur la même station, il estime que tous les acteurs interprétant leur rôle devraient rafler les palmes de Cannes tant leur jeu est réaliste : « Je ne sais pas si Serge Klur a fait le conservatoire, s’il a pris des cours chez Blanche Salan ou Jean-Laurent Cochet, s’il a plutôt suivi la méthode Stanislavski ou Strasberg mais dans le rôle de cet homme du peuple, qui a perdu son emploi après que son entreprise a été délocalisée en Pologne, ouvrier au bout du rouleau, prêt à mettre le feu à sa maison dont il n’arrive pas à payer les traites, Serge Klur est quasiment aussi crédible que Vincent Lindon… »[30]. Avec 120 000 salariés, près de 75 milliards d’euros de capitalisation et 35 milliards d’euros de chiffre d’affaires, LVMH est le premier groupe mondial du luxe. Bernard Arnault, de son côté, rentre tout juste des Etats-Unis où il a fondé Ferinel Inc. (qui sera racheté en 1995 par la Générale des eaux pour devenir Nexity) et cherche à se diversifier dans le luxe. Le réalisateur expose ses personnages au danger, mais prouve que le documentaire social, bien réel, peut s’assumer comme une savoureuse comédie de caractères »[28]. L'employé est accusé de « faute grave »[17]. L’histoire est racontée en détail sur Fakirpresse.info. « Merci Patron ! Dans le style grand-guignolesque d’une farce terriblement efficace scénaristiquement, le film en impose… tout en posant des questions sur la pertinence d’une lutte sociale […] Qu'importent les services de sécurité qui l'empêchent de rencontrer son idole, ou l'hostilité d'anciens employés licenciés, François va déborder d'ingéniosité pour rétablir le dialogue et partager avec tous sa passion pour le PDG de LVMH. Lors du Festival de Cannes, les droits de distribution du film ont été vendus au Benelux, en Suisse, en Espagne et au Canada[21], ainsi qu'en Thaïlande[22]. », François Ruffin fait montre d’une rouerie jubilatoire pour arnaquer le patron de LVMH, Bernard Arnault. Dans les Cahiers du cinéma, Camille Bui encense un film « bricolé, désinvolte, tourné dans une forme d’émulation et d’urgence politiques, [qui] se distingue du défaitisme et de l’impuissance ambiants pour faire du cinéma le moteur d’une lutte locale prête à essaimer »[23]. Le 9 juin 2016, La Lettre A rapporte que « selon les calculs des producteurs et des professionnels du cinéma, les 500 000 entrées du film et la vente des droits à plusieurs pays étrangers ont rapporté quasiment un million d'euros »[43]. » (en 2014) qui dresse un portrait sans concession de l’Union Européenne, en passant par  « Leur grande trouille : journal intime de mes « pulsions protectionnistes » (en 2011) où il s’interroge sur ce qu’il nomme « l’hypothèse interdite » (le protectionnisme et les barrières douanières)… Autant de sujets qui parleront naturellement aux lecteurs du Cercle ! Anonyme Alors qu'il devait être l'invité de l'émission Europe 1 Social Club animée par Frédéric Taddeï le 23 février, la veille de la sortie du film, François Ruffin est informé, quelques jours avant, que sa venue est annulée car « Le sujet du film pose problème »[9]. Il faut aller le voir, et si possible dans le cadre d'une projection-débat. C omme on ne risque pas d’avoir les studios Universal sur le dos et qu’en le film Merci Patron ! Fakir. L’émouvant cri de colère de François Ruffin aux Césars, Projection & débat : « Quand les bulles éclatent », avec Gérard Foucher (dimanche 22 janvier), Affaire Bouaké : entretien avec Maître Balan, Syrie : 100ème SitRep, spécial « 10 ans de conflit », Syrie : SitRep 98 avec Ayssar Midani (11 février 2021). Et d’une éducation au cœur des « gens du Nord » à autant de cynisme ? Harry, reste bien droit, elles ne se réouvriront pas comme ça. C'est pas possible, hier… ça ne pouvait pas être un simple rêve… Bon, j'ai intérêt à être concentré, le prof me regarde et Ron, je crois qu'il en a marre que je ne fais pas grand chose. Mais laissons à François Ruffin l’honneur de présenter lui-même son documentaire, via cette bande annonce qui ne met toutefois pas assez en valeur, selon moi, la formidable dimension ubuesque du film : Il s’agit donc de l’histoire vraie (vraiment vraie ? « Merci Patron pourrait concourir dans la catégorie meilleur film, François Ruffin, dans celle de meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleur espoir masculin, meilleur scénario original, meilleur documentaire, et même meilleur film étranger, tant ce film en effet est tellement étranger au reste de la production cinématographique habituelle. Tout de même, je me demande à quel point tout cela n'est qu'un jeu de dupe (à 2 ou 3 reprises, Digeon laisse entendre qu'il se doute bien qu'on l'enregistre).Comme tout le monde j'ai pensé à Michael Moore mais aussi à la télé-réalité, une télé-réalité alternative. L’histoire semble simplette, elle va rapidement donner le vertige », « Plaisantin plutôt que pleurnichard, fort d’une mise en scène bout de ficelle et facétieuse avec ses séquences en caméra cachée, ce documentaire en forme de satire sociale et clownesque n’y va pas de main morte. Alex Ovechkin rejoindra Wayne Gretzky pour les buts. Ce film est une fiction imprégnée de beaucoup de réalité, ... Un gros merci pour tous les participants et pour Loulou, notre superbe enseignante . François Ruffin est un fan absolu de Bernard Arnault. Comme le souligne Koyama (2009), plusieurs personnes transsexuelles sont accusées d'avoir profité et/ou de profiter de ces bénéfices liés au statut d'homme : Some feminists, particularly radical lesbian feminists, have accused trans women and men of benefiting from male privilege. Merci Ruffin, merci les Klur. Male- Merci Patron est un film joyeux parce que Ruffin à l’humour et la malice nécessaire pour que le cauchemar devienne une fable et la réalité une grande pièce de théâtre. Merci Patron !, un documentaire tombé du ciel. La dernière modification de cette page a été faite le 20 octobre 2020 à 18:36. Une polémique autour du film enfle à la suite d'une procédure de licenciement engagée contre un employé du techno-centre de Renault à Guyancourt pour avoir fait la promotion du film dans un mail adressé à des syndicalistes, hors de son bureau et hors de ses horaires de travail. L’affaire est plutôt bien racontée ici par 20 minutes. Qu'importent les services de sécurité qui l'empêchent de rencontrer son idole, ou l'hostilité d'anciens employés licenciés, François va déborder d'ingéniosité pour rétablir le dialogue et pa… On y rit, on se surprend aussi à essuyer un œil humide. Il faut reconnaître qu’on peut parfois avoir un petit doute face à cette extraordinaire « épopée » !) », « ce pastiche de thriller sur fond de lutte des classes réussit la gageure de réenchanter l'action dans une époque aquoiboniste. Qualité pourtant plus que respectable pour un tel film. Moqueur sans condescendance, joyeusement combatif, le film est un parfait dosage d'humour et de constat social. « La reine du suspense », expression consacrée, est morte vendredi dernier à 92 ans. Le site Allociné relève une note moyenne de 4,5/5 pour les critiques spectateurs sur un total de plus de 1800 notes[31]. Chapitre 1 (Intégral) Les gyrophares, les sirènes, tout ce monde, tout ce bruit. » publiée par le collectif Le Seum sur leur site internet, que nous conseillons vivement de découvrir si vous ne le connaissez pas! Essuyant plusieurs refus à des entretiens d’embauche, elle se rend dans un cabinet de placement où elle retrouve un ancien ami de l’université, Zack. Merci patron ! Cette rencontre « houleuse » permet à François Ruffin de critiquer Arnaud Lagardère, patron de Europe 1, à l'antenne, avant de partir en laissant symboliquement derrière lui un os en plastique[11]. Merci Patron ! Le spectateur quitte la salle de cinéma avec le sourire. À noter tout de même la chronique de François Morel, sur France Inter, qui déclare, non sans son humour grinçant habituel : « Merci Patron pourrait concourir dans la catégorie meilleur film, François Ruffin, dans celle de meilleur réalisateur, meilleur acteur, meilleur espoir masculin, meilleur scénario original, meilleur documentaire, et même meilleur film étranger, tant ce film en effet est tellement étranger au reste de la production cinématographique habituelle. display: none !important; Si Le Monde en parle dans un article plutôt honnête, Le Figaro ne mentionne que « l’épisode Europe 1 » (nous y revenons) et classe pour le reste le film dans sa rubrique Actualités Culturelles ! Film ou documentaire, telle est la question. vendus en Europe et au Canada », "Merci patron", un traquenard aux allures de farce (Dorothée Barba), « Merci Patron ! [...] un spectacle décapant à la, « François Ruffin signe le chef-d’œuvre du genre. Mais au début des années 80 la situation économique du secteur se retourne et les frères Willot perdent la confiance de la banque d’affaire Lazard. Cliquez sur l'icône s'abonner !Et partagez vos commentaires. François Ruffin est un fan absolu de Bernard Arnault. L'édition internationale du New York Times publie à la une du 12 avril 2016 un article sur le documentaire – « a guerrilla-style documentary » – et son réalisateur[20]. Deux formules, que l’on retrouve au début de chaque numéro, sonnent autant comme des slogans que comme des revendications : « aucun parti politique, aucun syndicat, aucune institution » et « entièrement rédigé et illustré par des bénévoles ». ». » ne serait-il pas le « César 2017 » du documentaire ? Devant le buzz négatif qui commence à prendre de l'ampleur, la direction d'Europe 1 décide de l'inviter, le 24 février, dans la tranche de midi animée par Jean-Michel Aphatie[10]. Is Fire hot or cold? de cette réalité. Et c’est ce très cher Jean-Michel Apathie qui a été choisi pour ouvrir la porte du studio à François Ruffin… et le moins que l’on puisse dire est qu’il se l’est prise en pleine gueule ! Combien cette oligarchie est prête à tomber de son piédestal (sur lequel peut-être nous l’avons nous-même trop mise) et que son talon d’Achille est de s’être crue toute puissante. Lors de la 42e cérémonie des César en février 2017, le film remporte le César du meilleur film documentaire. Première a tenté d’y voir un peu plus clair en prenant les plus grandes scènes du film et de l’histoire de Facebook et en tentant de distinguer la réalité de la fiction. Tout jeune diplômé en Lettres (il n’a alors que 23 ans), il crée le journal Fakir dans sa ville natale en 1999 avant d’entrer, l’année suivante, au fameux CFJ (Centre de formation des journalistes) dont il sort diplômé en 2003. On est habitué à ce genre de critiques. Qui détient les instituts de sondage ? La preuve que l'engagement peut être payant... », « bricolé, désinvolte, tourné dans une forme d’émulation et d’urgence politiques, [qui] se distingue du défaitisme et de l’impuissance ambiants pour faire du cinéma le moteur d’une lutte locale prête à essaimer », « documentaire incarné et engagé, "Merci patron !" En novembre, c'est un encart publicitaire dédié à la promotion du DVD du film qui est annulé par le journal[14]. Je suis sorti de ce film avec une motivation et une volonté décuplées pour faire bouger les choses. : « Mieux vaut ... le « documentaire » et, au-delà, le film le plus désopilant que j’ai vu depuis longtemps. Sans prise de conscience du problème… Pourquoi chercher des alternatives ? Merci patron!Merci patron! Fiction ET réalité! Pour moi Ruffin sera crédible lorsqu’il aura signé la pétition article3 pour l’instauration des référendum d’initiative 100 % citoyenne. Il suffit de taper « Merci Patron » sur Google pour s’en convaincre.  =  du film nous est proposé par Frédéric Lordon (un ami de combat de longue date de François Ruffin), dans le Monde Diplomatique. Dorothée Barba sur France Inter encense le film en rappelant, elle aussi, dans quelle veine il s'inscrit : « Voilà un film insolent, drôle, bigrement bien ficelé, avec un message politique assumé et un réalisateur omniprésent à l’écran : difficile de ne pas penser à Michael Moore... »[29]. de Jocelyne et Serge Klur, ex-employés à la confection de costumes Kenzo, licenciés de l’usine ECCE (filiale de LVMH) de Poix-du-Nord (près de Valenciennes). Mais de là à parler de perspectives révolutionnaires, faut pas exagérer. ». 79 likes. Ami de Nicolas Sarkozy, il fut le témoin de son mariage avec Cécilia Ciganer (aujourd’hui Cécile Attias). .hide-if-no-js { Il s’attaque au grand méchant loup capitaliste : dans « Merci Patron ! Pari gagné. Entouré d’un inspecteur des impôts belge, d’une bonne sœur rouge, de la déléguée CGT, et d’ex‑vendeurs à la Samaritaine, il tentera de porter le cas Klur à l’assemblée générale de LVMH, bien décidé à toucher le cœur de son PDG, Bernard Arnault. Pour plusieurs observateurs, les débats lors d'une rencontre organisée à la bourse du travail autour du documentaire participent à la genèse du mouvement « Nuit debout »[18],[19]. Le Centre National Cinématographique a en effet refusé l’aide habituellement réservée à ce genre de production, au prétexte que la qualité du film aurait été jugée « insuffisante ». Film de François Ruffin avec : toutes les infos essentielles, la critique Télérama, la bande annonce, les diffusions TV et les replay. Ils rachètent successivement les groupes Saint-Frères (dont il est question dans le documentaire) et Boussac (propriétaire de la marque Dior). Les personnes intervenant à l'écran sont dans leur propre rôle : Projet refusé par le CNC, le film, qui a coûté 150 000 €[4] — le budget moyen d'un tel documentaire se situant entre 300 000 et 500 000 €[5] — est en partie achevé grâce à une campagne de financement participatif via Ulule recueillant plus de 21 000 euros, sur les 15 000 demandés initialement pour terminer la post-production du film[6]. C’est sûr, les caméras cachées filment rarement en 3D et en HD ! Fiction qui veut coller au réel mais qui, parfois, y faillit puisqu'elle doit composer avec la réalité, et avec ses propres impératifs, d'audience et de crédibilité. La reprise de Dior est pour lui une aubaine. bientôt dispo dans le monde », Merci Patron : 500.000 entrées et une date de sortie DVD, https://www.liberation.fr/checknews/2018/03/15/comment-ont-ete-utilises-les-benefices-du-film-merci-patron_1653335, Centre national du cinéma et de l'image animée, « Francois Ruffin, créateur de Fakir, se met au cinéma », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Merci_Patron_!&oldid=175754902, Œuvre dont le titre fait référence à une chanson, Film documentaire sur le monde du travail, Page pointant vers des bases relatives à l'audiovisuel, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Coproduction : Édouard Mauriat, Anne-Cécile Berthomeau, Johanna Silva.

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